La face cachée des Tutsi

Kwebe Kimplele, « vedette » du journal parlé de la « Voix du Zaïre » (aujourd’hui RTNC) à la mi-journée, dans les années ’80, vit en exil en Europe depuis le régime Mobutu. Après avoir été un des chantres du mobutisme au sein de ce média public, il avait fini par ne plus épouser la « ligne éditoriale » imposée à l’équipe rédactionnelle.
Devenu journaliste indépendant mais aussi libre penseur, la fibre patriotique lui commande de livrer souvent des réflexions à ses compatriotes en général et aux décideurs politiques en particulier. Dans la livraison sous examen, il rappelle à plus d’un Congolais l’âme profonde des Tutsi, une des communautés minoritaires habitant le Rwanda, le Burundi et même l’Ouganda. La mentalité du Tutsi
1. Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc , de ton incapacité de te battre avec lui.
2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi .
3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais , au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de
reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
5. Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
6. Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un «Muntu», cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent
les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
Tous ceux qui ignorent ou qui, pour leur plus grand malheur, ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :
a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.
b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame , croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français, fut abattu dans la même soirée du 6 avril
1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité, en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les-dits accords étaient déjà violés, devenant caducs au moment où deux parmi les signataires,
tous deux des Hutus, étaient liquidés dans le crash de leur appareil.
c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide de
Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré
au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal
Mobutu et la milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl,
n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se
tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avancée vers Kinshasa.
La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997,
rendant du coup vain et sans objet tout dialogue.
d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en
pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl .
e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il avait pris place à bord du
même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture
blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays .
f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves,
sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous
congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché
de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela
en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant
l’ouest. C’est la province de Bandundu. Ce sont les territoires de
Kwamouth, de Bagata, de Masi-Manimba, de Bulungu. C’est aussi le Kongo
Central, qui sont désormais mis à feu et à sang.
La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce
que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi
à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de
milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP
du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de
Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)
La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les
Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de
massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas
encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui
ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs
qui seraient des Rwandais! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un
crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est
inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de
morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un «reptile »
se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des
Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont
nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur
appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant
que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette
subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination
à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre
complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont
bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons
offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants
et opulents, au point que certains d’entre eux ont même occupé de
hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas
tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements
scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces
Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des
décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une
invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl, une
milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de
cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs
bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A
l’insu de nos dirigeants, la République Démocratique du Congo est
désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la
Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses
frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté
du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.
Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis
(selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime
d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets
majeurs et funestes :
a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.
b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies
humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières,
aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un
tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité
nationale et de l’unité politique de la République Démocratique du
Congo.
Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues
et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais
comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les
années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de
larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans
le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la
Yougoslavie, dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps
que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les
armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi! », en les
traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national
congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en
retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur
ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les
Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer
leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote qui donnera peut-être une vague idée du
cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis.
Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur
romain Flavinius Titus, mort à Rome en l’an 81, après Jesus-Christ si
je ne m’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur
les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour
recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans
les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79
après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la
ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population
massacrée, ses temples, dont celui de Salomon, incendiés avec de
surcroît, la profanation de leurs sanctuaires ou les saints des
saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part
active dans le pillage de Jérusalem, dont la principale conséquence
fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète,
événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine
furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans
les légions romaines par l’empereur Titus. A la mort de ce dernier,
les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en
Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils
avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont,
au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner
lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant.
En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs
disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de
retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les
Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes
ascendants , qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus
perdues d’Israël.
Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal «ubwenge». Tant et si bien
que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la
banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de «Pacte de
Havila» fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les
Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance,
de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef
de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou
l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolph Hitler.
Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais
« communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même
les Juifs, qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de
la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur sont
attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.
On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire,
l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la
complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre
pays en 9 mois, de septembre 1996 au 17 mai 1997, et de s’emparer du
pouvoir à Kinshasa.

Kwebe Kimpele

2 thoughts on “La face cachée des Tutsi

  1. Chers amis et freres, ce que vous etes entrain d’ ecrire s’ appelle la ” STIGMATISATION d’ UN PEUPLE”Dans ce 21eme Siecle, qui resonne comme ca,a moins qu’ il ne soit malade d’ une xenophobie? Et qd les Blancs nous appellent des Chimpanzes( MACAQUES ),la on crie au RACISME! Mr KWEBE KIMPELE est un rancunierpathologique. Depuis la chute de Mobutu, il est devenu amer frustre, et tres mechant. Qu’il fasses tres attention pcq un jour il va repondre a ses ecris qui sement la zizanie et la haine contre tout un peuple.

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